samedi 10 février 2018


Après avoir étudié « de longues années », et (selon l’expression du magazine professionnel La France agricole) de façon « relativement sophistiquée », le comportement de « plusieurs groupes de poules », des membres de cette communauté scientifique ont constaté qu’elles manifestaient en semi-liberté une tendance à l’agressivité et parfois au cannibalisme, alors qu’en cage elles se contentaient de s’arracher leurs propres plumes. Les chercheurs, qui n’auront donc jamais trouvé de poules qu’en situation de conflit et en état de stress, en viendraient vite à éliminer d’office le facteur liberté pour se demander si elles n’éprouveraient pas un plus grand « bien-être » en captivité. Dans leur langage, il faut le savoir, « le bien-être d’un animal est jugé satisfaisant s’il se sent en sécurité, n’éprouve pas de douleur, ne présente pas de symptôme d’ennui ou de frustration ».

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